Cérémonie Mariage Marypole et Hrolf.

"OUI!", il l'avait dit! Et le baiser... hum... le baiser... aaaaaaah! Dans des temps futurs que les présents ne connaitront pas, c'eut été un baiser inoubliable du cinématographe. Mais les frères Lumière n'étaient pas de ce siècle.

Les amis et proches du couple fraîchement uni, étaient-là, dans la petite chapelle, à se réjouir de ce moment qui faisaient monter les grandes eaux dans les yeux de la petite Montfort-Vendôme.
Les épousailles, le printemps qui s'installait toute en beauté, la bouffée d'amour qui transpirait, rien de mieux pour vous sortir définitivement d'un hiver long et rigoureux.


Irella s'approcha du prélat et le congratula pour cette belle cérémonie.

Puissent-ils rester heureux toute leur vie! Et vous faire de beaux petits enfants que vous ferez sauter sur vos genoux à la veillée.

Elle prit un moment aussi pour remercier le frère Tadeus et se pressa vers Mary. Ces amis l'entouraient, son mari semblait goûter son bonheur.

Malgré qu'Irella ne connaisse pas les personnes qui se pressaient autour du jeune couple, il lui semblait qu'ils vivaient là un instants dont on se souvient, qui ne s'efface pas avec le temps. Avec le temps, avec le temps va, tout s'en va, mais pas ce moment-là.
Mary soulevait une enfant et taquinait son époux. Puis vint le moment où Irella réussit à rattraper les tourtereaux qui sur le parvis étaient arrivés.

- Mary! Hrolf! Soyez heureux! J'ai grand espoir d'être aussi présente quand nous serons de nouveau là, pour un baptême cette fois! Hrolf... Prenez grand soin d'elle.

Irella fit une accolade au jeune marié.

- Ben, Mary! Mary! Ne pleure pas! C'est tout ton nez qui va rougir! Allez ma grande...

Elle la prit dans ses bras.

... Je te souhaite tout le bonheur du Monde...

Hrolf retenait Mary qui fondit en larmes dans ses bras, sa mains libre lui caressa ses cheveux ... chut ... voilà ...

Mary se relacha puis alla remercier ses amis.

Hrolf se fit serrer la paluche par Firkraag ... hummm costaud le gaillard se dit-il ... Messire Firkraag, ce soir nous allons ripailler comme il se doit ! ou pas ! Lui donnant une grande claque amicale dans le dos ... Remarquez ... je me suis laissé dire que vous même ... lors de la soirée qui suivit vos noces ... hummm ... et il lui fit un p'tit clin d'oeil

Puis fit la bibise à Cyrielle ... Un grand merci m'zelle !

Se tournant vers Idana ... Idana, vous fûtes parfaite ... Mais je n'en n'ai jamais douté !

Soudain il vit Mary lui présenter une p'tite ... gloups !

Mon tendre époux, une petite fille comme Solenn..vous..tenterait ?

Hrolf souriant ... Mary, tout bas ...déjà, mettons-nous à l'ouvrage ... et puis à haute voix ... suivant ce que le Très-Haut nous donnera, moi, une petiotte comme celle-ci mais avec vos si jolis yeux ... je ne dis pas non !

Tendrement d'un revers de pouce il retira un résidu de larme des yeux de Mary et lui dit ... si vous pleurez, je ne verrais pas vos yeux ... cela serait dommage ... Mary déposant la p'tite Solenn, il en profita pour déposer un baiser sur les lèvres de Mary ...


Se tournant vers Irella

un grand merci pour votre sermon, il fut fort beau et oui n'ayez crainte, je veillerai sur Mary comme la prunelle de mes yeux.


Allant vers Tadeus, alors beau-frère, ça va ? Vous avez été parfait !


Vers Arzhel ... Monseigneur, un grand merci pour cette si belle cérémonie ! elle restera dans nos coeurs et vos marque d'affections m'ont touchées, Hrolf s'inclina ...

Puis vers Chimera ... Votre Grâce, un grand merci pour vos hospitalité en votre domaine. Votre chapelle est superbe, elle aussi restera dans nos mémoires. En tant que gendre de votre Vassal Sa Grandeur de Longeron, je n'ai point d'obligation légale mais une obligation de coeur vis à vis de vous et de votre Maison. Veuillez considérer que faire appel à De Longeron c'est donc aussi faire appel à moi si vous le jugez nécessaire. Hrolf s'inclina ...

Bien ... Et si maintenant nous allions voir quel fut ce bruit de meuglement au dehors ? Je pense que c'est Marcus Leluxembourgeois qui nous a fait une de ses blagounettes, un sacré numéro celui là ! Mais fort sympathique !

Hrolf pris Mary par la taille et ils continuèrent leur chemin vers le parvis, saluant au passage les personnes présentes ...

Tillie avait laissé passer les invités, toujours aussi discrète, elle s'avança vers Mary et la prit dans ses bras...

Je te souhaite tout le bonheur du monde ma Mary tu le mérites et plein de beaux bébés....

L'embrassant elle se détacha un peu et se tourna vers le marié

Nous n'avons pas l'honneur de nous connaitre mais je vous présente toutes mes félicitations et vous souhaite d'être heureux, prenez bien soin de Mary, j'y tiens aussi

Lui faisant un petit bisou sur la joue elle s'éclipsa et se dirigea vers la porte avec un petit sourire en murmurant pour elle-même

Rha tient voilà la vache est ce qu'ils vont faire le tour de la ville dessus ?

Lena s'avança pour féliciter les mariés, tout particulieremet son amie Mary, a qui elle avait vu des hauts et des bas (mmh ... Le Club des Coeurs d'Artichauts ^^) et qu'elle voyait à présent rayonnante de bonheur. Elle était si heureuse de la voir ainsi ! S'avançant vers les nouveaux mariés... elle prit la main libre de son amie.
Oh, ma Mary, toutes mes félicitations ! Je te souhaiterais tout ce que tu voudras dans ta vie, le bonheur, l'amour ... Mais tu l'as déjà, non ?
Elle l'embrassa fort, puis se tourna vers Messire Hrolf.
Toutes mes félicitations, Messire ! Je pense que vous savez que votre épouse est une perle rare !
Puis elle les regarda faire d'autant plus de sourires, d'embrassades, main dans la main. Elle sourit. Ce que c'était beau ...

Elle avait joint sa voix et des applaudissements discrets sans être moins chaleureux aux vivats de l'assemblée lorsqu'ils avaient enfin été déclarés mari et femme sous les yeux d'Aristote.
Un pincement au coeur, toujours devant ce simple accomplissement qui, peut-être, avait manqué à sa vie avec lui...
Elle s'était levée à la fin du service, et attendait patiemment d'avoir l'occasion de féliciter les mariés, bien que maîtresse des lieux. Impensable de ruiner l'enthousiasme de chacun en imposant en cet instant la préséance du rang. Elle observait donc les embrassades et autres joyeuseries avec le sourire aux lèvres lorsque Nolwenn se faufila dans la chapelle, jusqu'à ses côtés.

Que se passe-t-il?
Votre fille, ma dame, elle est ici. Elle vient d'arriver.
Ca pour une surprise.
Dans son état? Où est-elle?
Vous la trouverez dans ses appartements. Elle s'y repose.
Très bien, merci Nolwenn.

Les félicitations se font plus urgentes, désormais. Elle tourne à nouveau les yeux vers les jeunes époux. Elle n'a pas à faire quoique ce soit, car Hrolf, toujours aussi prévenant et comme conscient de la toute nouvelle urgence qui la préoccupe, s'approche d'elle.

Votre Grâce, un grand merci pour vos hospitalité en votre domaine. Votre chapelle est superbe, elle aussi restera dans nos mémoires. En tant que gendre de votre Vassal Sa Grandeur de Longeron, je n'ai point d'obligation légale mais une obligation de coeur vis à vis de vous et de votre Maison. Veuillez considérer que faire appel à De Longeron c'est donc aussi faire appel à moi si vous le jugez nécessaire. Hrolf s'inclina ...

Je ne l'oublierai pas, Hrolf, mais de grâce ne pensez pas à tout cela, profitez de votre journée. C'est une joie pour moi que de voir un tel bonheur envahir mon domaine. Je vous sais fort épris l'un de l'autre, et suis heureuse que le lien qui vous unit soit enfin officialisé.
Toutes mes félicitations. Puissent les dieux veiller sur votre union et vous apporter tout le bonheur que vous méritez, dans la santé et la prospérité. Je prierai pour cela.
Elle lui sourit, ainsi qu'à une Marypole désormais encombrée d'une blanche hermine.
Si vous voulez bien m'excuser, on vient de m'avertir que ma fille vient d'arriver à Cholet. Je vous retrouverai à la salle de réception.
Mes félicitations à vous deux, encore une fois.

Un signe de tête aux époux, ainsi qu'aux convives, et la voilà partie.

Elle était là !! Elle ne meuglait plus, mais elle était là et regardait de ses yeux de vache regardant passer "des mariés", les invités qui passaient devant elle , se demandant tous où était passé son propriétaire.

Les paris furent lancer...ce ne pouvait qu'être un rennais ? et des vachers à Rennes , il n'y en avait pas des tonnes.

Le nom Marcus, revint sur toutes les lèvres, ce ne pouvait qu'être Marcus,mais alors où était-il passé ?

Mary qui parlait aussi à l'oreille des vaches (et comme vous pouvez le constater avait donc toutes les qualités requises pour faire une excellente épouse... c'est une blagounette,hein ! ) se pencha sur la vache fleurie et lui demanda :



Toi savoir où est ton patron ?

Elle ne fut pas surprise d'entendre la vache répondre : meuhhhh
Ce qui en langage de vache signifie :
Euh, va te faire voir, j'ai faim !

Et là, la mariée en resta un peu coite.
Elle se tourna vers ses invités et en souriant leur dit :

Cette vache ne parlera qu'en présence de son propriétaire !! Allez hop !! suivez moi tous au grand salon pour un verre de chouchen ou de prunavampi ...les émotions donnent soif.


(hrp : suite pour ceux qui le souhaitent au grand salon )