[RP] Arrivée d'un coq
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[RP] Arrivée d'un coq
Killijo avait eu des nouvelles de sa cousine, dernièrement, elle lui avait parlé de l'installation de son domaine à Cholet. Invité à y passer, il avait décidé de s'y rendre, d'abord seul, pour la retrouver. Ses filles pourraient venir pas la suite. Il ne voulait point les habituer à les emmener partout où il irait, sinon, terminées les petites escapades clandestines pour lutiner des maîtresses occasionnelles. Il éperonna son cheval pour profiter des terrains et galoper plus vite. Arrivé devant les grilles, il demanda
Ola mon brave ! Chimera de Dénéré je vous prie.
C'est pas ici mon bon messire, c'est plus loin.
Ah ? Je croyais...
Nan, c'est à deux lieues d'ici .
L'homme se curait les dents, hilare. Encore un nobliau qui ne connaissait pas le coin... On allait s'amuser... Killi éperonna son cheval à nouveau en pestant contre le villageois qui lui avait indiqué la première demeure qu'il croisait. Il arriva très vite à une autre grille. Il se fait entraîner à deux autres lieues. Puis encore, et encore... A la tombée de la nuit, il était éreinté, et s'arrêta devant une dernière grille, en se disant que si ce malandrin ne lui indiquait pas la bonne route, il reviendrait le corriger.
Maison Dénéré ?
Non, messire, c'est celle des Malines. Les Dénéré sont...
Faites quérir dame Chimera de Dénéré-Malines, je suis son cousin, Killijo de dénéré au lieu de me faire de la généalogie de bas étage.
Son ton était sec et sans appel. Il était fatigué, avait froid et faim. Point le temps de discutailler avec la garde.
Ola mon brave ! Chimera de Dénéré je vous prie.
C'est pas ici mon bon messire, c'est plus loin.
Ah ? Je croyais...
Nan, c'est à deux lieues d'ici .
L'homme se curait les dents, hilare. Encore un nobliau qui ne connaissait pas le coin... On allait s'amuser... Killi éperonna son cheval à nouveau en pestant contre le villageois qui lui avait indiqué la première demeure qu'il croisait. Il arriva très vite à une autre grille. Il se fait entraîner à deux autres lieues. Puis encore, et encore... A la tombée de la nuit, il était éreinté, et s'arrêta devant une dernière grille, en se disant que si ce malandrin ne lui indiquait pas la bonne route, il reviendrait le corriger.
Maison Dénéré ?
Non, messire, c'est celle des Malines. Les Dénéré sont...
Faites quérir dame Chimera de Dénéré-Malines, je suis son cousin, Killijo de dénéré au lieu de me faire de la généalogie de bas étage.
Son ton était sec et sans appel. Il était fatigué, avait froid et faim. Point le temps de discutailler avec la garde.
Killijo_de_denere- Messages : 40
Date d'inscription : 28/11/2010
Age : 45
Localisation : Les routes
Re: [RP] Arrivée d'un coq
[Désolée pour le long silence, déménagement et tout et tout!]
[Ecuries ducales - la main sur un chanfrein]
Voilà bien longtemps qu'elle n'a pas rendu visite à Morvac'h. Il est en bonne forme, Beilhal y veille, mais les chevauchées à bride abattue manquent à la duchesse.
C'était décidé, le lendemain, elle irait parcourir ses terres à cheval. La vision que l'on avait du monde était plus vraie ainsi, sans la distance crée par les pans de bois et rideaux de velours d'une voiture richement parée. Elle flatte l'encolure de sa monture en souriant, toute enthousiasmée par sa récente résolution.
Ma dame?
La dame a l'ouie fine, et elle n'a pas besoin de tourner la tête vers celui qui lui parle pour lui répondre.
Qu'y a-t-il Youen?
Regard tout de même vers son capitaine de la garde, parce que c'est plus poli.
Un homme à la porte qui se présente comme votre cousin, qui dit s'appeler Killijo de Dénéré.
Vous lui avez offert des roses j'espère?
Devant l'air ahuri du capitaine. Chimera part d'un rire léger.
Il est le seigneur des rosiers, Youen, voilà pourquoi.
Le garde grommelle, vexé:
Oh... Et bien... assurément, il en a le piquant....
La duchesse sourit et quitte l'écurie en la compagnie de son garde grognon qui la mène auprès du nocturne visiteur. Elle lui sourit sitôt parvenue à proximité:
Killijo, quel plaisir de vous voir.
Entrez, entrez, il est tard et je ne vais pas vous laisser passer la nuit dehors!
S'adressant à sa garde:
Qu'on prenne soin du cheval, je prends soin du Seigneur.
Elle sourit à son cousin et étend le bras vers la grande porte du château.
Dites moi, cher cousin, quelle envie, entre celle d'un moment pour vous délasser et celle de vous restaurer et vous abreuver, est la plus pressante, que je puisse dans un cas comme dans l'autre veiller à ce que vous soyez contenté?
[Ecuries ducales - la main sur un chanfrein]
Voilà bien longtemps qu'elle n'a pas rendu visite à Morvac'h. Il est en bonne forme, Beilhal y veille, mais les chevauchées à bride abattue manquent à la duchesse.
C'était décidé, le lendemain, elle irait parcourir ses terres à cheval. La vision que l'on avait du monde était plus vraie ainsi, sans la distance crée par les pans de bois et rideaux de velours d'une voiture richement parée. Elle flatte l'encolure de sa monture en souriant, toute enthousiasmée par sa récente résolution.
Ma dame?
La dame a l'ouie fine, et elle n'a pas besoin de tourner la tête vers celui qui lui parle pour lui répondre.
Qu'y a-t-il Youen?
Regard tout de même vers son capitaine de la garde, parce que c'est plus poli.
Un homme à la porte qui se présente comme votre cousin, qui dit s'appeler Killijo de Dénéré.
Vous lui avez offert des roses j'espère?
Devant l'air ahuri du capitaine. Chimera part d'un rire léger.
Il est le seigneur des rosiers, Youen, voilà pourquoi.
Le garde grommelle, vexé:
Oh... Et bien... assurément, il en a le piquant....
La duchesse sourit et quitte l'écurie en la compagnie de son garde grognon qui la mène auprès du nocturne visiteur. Elle lui sourit sitôt parvenue à proximité:
Killijo, quel plaisir de vous voir.
Entrez, entrez, il est tard et je ne vais pas vous laisser passer la nuit dehors!
S'adressant à sa garde:
Qu'on prenne soin du cheval, je prends soin du Seigneur.
Elle sourit à son cousin et étend le bras vers la grande porte du château.
Dites moi, cher cousin, quelle envie, entre celle d'un moment pour vous délasser et celle de vous restaurer et vous abreuver, est la plus pressante, que je puisse dans un cas comme dans l'autre veiller à ce que vous soyez contenté?
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