Registre: Anoblissements

Moi, Batti de Dénéré, Duc de Cholet,

Conformément au jus nobilitas, dont les articles 423-1 ("Le noble peut dans les limites de son domaine et du droit, Octroyer terre et titre à la personne de son choix"), 423-2 ("Anoblissement de main à main nécessite serment, Scellant le rapport de vassalité en découlant") et 457 ("De par leur vertu et leur sens de l'honneur aigu, duc et marquis peuvent faire seigneur au sein de leur fief aimé, ceux là qui se seront montrés dignes") ;

J'octroie le fief de St Léger Sous Cholet en mes terres de Cholet à Dame Chimera et l'élève au rang de seigneurie.
Elle est désormais autorisée à porter le titre de seigneur, le blason et la couronne correspondants.

E Roazhon d'al Lun 12 a viz Du 1455,

Batti de Dénéré,
Duc de Cholet.

Moi, Chimera Dénéré de Dongenan, sur mon honneur et sur ma vie, jure de servir la Bretagne, sa Souveraine la Grand-Duchesse Evenice de Guérande, le Duc de Bretagne, ainsi que mon suzerain Batti de Dénéré, Duc de Cholet, que je servirai et protègerai au péril de ma vie.

Plutôt la mort que la souillure.

E Roc'han d'al Lun 12 a viz Du 1455,

Chimera Dénéré de Dongenan

Nous, Amalric de Brocéliande, Grand Duc de Bretagne, attribuons ce jour la seigneurie de Saint Léger sous Cholet, situé en le domaine grand ducal, à dame Chimera Dénéré de Dongenan.

Cet anoblissement faisant suite à la demande de retribution de ses terres par ladite dame, celle ci les ayant perdues lors de l'auto destitution du Duc de Cholet. Nous jugeons Chimera digne de ces terres et titre en raison de son engagement en Bretagne et plus particulièrement son implication indéfectible au sein de la diplomatie bretonne, en particulier auprès de notre voisin d'Albion.

Est joint à ce document le serment d'allégeance de la Dame de Saint Léger sous Cholet.

E Roazhon,
D'ar Mec'hrer 8 a viz Here 1456

Moi, Chimera Dénéré de Dongenan, sur mon honneur, je jure fidélité et protection à mon suzerain et souverain, Amalric de Brocéliande, Grand Duc de Bretagne.

Je jure sur mon honneur et ma foi de toujours servir ses intérêts et ceux de la Bretagne, de me montrer digne des terres et titres qu'il m'offre.

Je mets également à son service ma parole, mon geste, et mon épée.

Moi, Milouse Coatmeur,
Duc de Cholet parce que je le vaux bien, grand alchimiste breton parce que je suis le meilleur, et dieu vivant parce qu'Aristote ne peut être partout au même instant,

considérant sa lenteur insultante à me prêter allégeance;
considérant sa déclaration me reconnaissant comme Duc de Cholet, déclaration ne faisant nulle mention de son allégeance à mon égard;
considérant ses coucheries officielles avec l'incapable qui a été fait Duc de Vannes;
considérant sa prétention à se faire appeler Duchesse Consort, prétention inacceptable et dégradante pour moi;
considérant le peu d'aide et de conseil qu'elle m'apporte,
considérant le mépris de ne venir au mariage de ma vassale, la vicomtesse Leyah, invitation et date retenues depuis fort longtemps,


destitue par la présente Chimera de Dénéré et la déchois donc de son titre et des privilèges y afférant sur les terres de Saint-Léger.
Ma patience n'est pas sans limite.
Que la gueuse retourne donc au fumier qui n'aurait jamais du la quitter.


Cholet, d'ar Yaou 28 a viz Genver 1458

Milouse Coatmeur,
Dug Cholet

Nous, Myrlin de Pontcallec, Grand Duc de Bretagne,

Déclarons avoir anobli le 27 du venteux mois de Février la sage et honnête Chimera, baronne de Bubry, fief sis sur nos terres de Pontcallec, en vertu de son implication constante pour la culture, de sa carrière au sein de la diplomatie, de son oeuvre en tant que druide, de son amour de la Bretagne et de ses conseils précieux.

Nous, Myrlin de Pontcallec, Grand Duc de Bretagne

Déclarons avoir anobli le 3 du frisquet mois de Novembre la grâcieuse Chimera duchesse de Cholet en vertu de son comportement exemplaire, de ses innombrables mérites, à la culture, à la diplomatie, pour le druidisme, pour la Bretagne et pour tout le reste.

Charge à elle de continuer à oeuvrer pour la culture bretonne et le maintien de bonnes relations avec nos voisins.

Elle conserve en outre sa baronnie de Bubry, où elle fait merveille et plaît aux bons paysans de ce lieu.


Déclarons avoir anobli le 15 du beau mois de Novembre le sage Marick duc de Hennebont en vertu des services rendus à la Bretagne et à la ville de Vannes depuis des années et des années, grâce à ses petites mains travailleuses et cet esprit brillant qui font merveille pour l'économie bretonne, en vertu de sa dignité constante au fil du temps à oeuvrer avec modestie, sérieux, sans se laisser happer par le feu des passions qui dévore les Bretons et les déchiquette et en vertu de ta bravoure.


Déclarons reconnaître également le clan du Gwenn ha Du, en lui présentant nos excuses pour le retard dans cette reconnaissance.

E Naoned
D'ar Mec'hrer 24 a viz Du 1458