Armurerie du château.
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Armurerie du château.
Lieu épuré qui regroupe tout ce dont la Duchesse a besoin pour s'entrainer , se divertir , apprendre.
Pièce qui ne demande qu'a être utilisée en somme.
Pièce qui ne demande qu'a être utilisée en somme.
Invité- Invité
Re: Armurerie du château.
Le rat était arrivé au château, c'était installé, c'était entretenu avec la Duchesse, avait couru d'un coin à l'autre du village et des dédale de couloirs pour X ou Y raisons qui ne regarde que le rat et uniquement lui, et la Duchesse bien sur, vue que maintenant, ce qui regardait le rat regardait une entité supérieur qu'on appel Chimera et qui a des yeux partout selon la légende du coin.
D'ailleurs il avait entendu pas mal de bien sur la Duchesse, de la bouche des gardes, cuisinières, d'ailleurs il aimait à passer du temps en cuisine, rien de mieux que de bien ce faire voir des serviteurs qui y travail pour manger à l'oeil et soutirer les meilleurs morceaux... Mais cela est une autre histoire.
Revenons à nos moutons !
Donc c'est après moult discutions et questionnement par si par la qu'il trouva enfin l'armurerie... Et pour être franc, en ouvrant la porte il comprit bien vite pourquoi personne n'arrivait à l'informer. C'est dans un grincement des plus sinistre que la grosse porte de chêne donna vue sur la pièc... Heu, un gros nuage de poussière !! Ce n'est qu'une fois celui si dissipé et les poumons du rat décrochés à force de tousser, que la pièce fit son apparition. Elle était dans plus sombre, aucune lueur rien, seul un petit rayon de soleil filtrait à travers une fenêtre condamné. Le rat traversa ce qui ressemblait plus à un grenier qu'a une armurerie, attrapa une hache au passage et fracassa la planche qui couvrait la fenêtre, et la alléluia, la lumière fut dans la pièce.
Dans un premier temps le rat pu constater qu'il y avait de quoi ce battre, mais pour trouver ce que l'on désirait... Cela était encore une autre histoire. Relevant ses manches il ce mit donc au travail, lances dans le râtelier à cet effet, épées de même, bouclier au mur.
Si il voulait pouvoir entraîner la Duchesse il lui fallait avant tout arranger le lieu. Et c'est donc dans un boucant pas possible que le rat ce mis à faire le ménage ! Il était homme à tout faire et il ferait tout.
Et puis... trier, ranger, aiguiser, ça vous change un peux les idées parfois... Il devrait peut être demander à la Duchesse de lui donner un coup de mains !
D'ailleurs il avait entendu pas mal de bien sur la Duchesse, de la bouche des gardes, cuisinières, d'ailleurs il aimait à passer du temps en cuisine, rien de mieux que de bien ce faire voir des serviteurs qui y travail pour manger à l'oeil et soutirer les meilleurs morceaux... Mais cela est une autre histoire.
Revenons à nos moutons !
Donc c'est après moult discutions et questionnement par si par la qu'il trouva enfin l'armurerie... Et pour être franc, en ouvrant la porte il comprit bien vite pourquoi personne n'arrivait à l'informer. C'est dans un grincement des plus sinistre que la grosse porte de chêne donna vue sur la pièc... Heu, un gros nuage de poussière !! Ce n'est qu'une fois celui si dissipé et les poumons du rat décrochés à force de tousser, que la pièce fit son apparition. Elle était dans plus sombre, aucune lueur rien, seul un petit rayon de soleil filtrait à travers une fenêtre condamné. Le rat traversa ce qui ressemblait plus à un grenier qu'a une armurerie, attrapa une hache au passage et fracassa la planche qui couvrait la fenêtre, et la alléluia, la lumière fut dans la pièce.
Dans un premier temps le rat pu constater qu'il y avait de quoi ce battre, mais pour trouver ce que l'on désirait... Cela était encore une autre histoire. Relevant ses manches il ce mit donc au travail, lances dans le râtelier à cet effet, épées de même, bouclier au mur.
Si il voulait pouvoir entraîner la Duchesse il lui fallait avant tout arranger le lieu. Et c'est donc dans un boucant pas possible que le rat ce mis à faire le ménage ! Il était homme à tout faire et il ferait tout.
Et puis... trier, ranger, aiguiser, ça vous change un peux les idées parfois... Il devrait peut être demander à la Duchesse de lui donner un coup de mains !
Niark- Messages : 68
Date d'inscription : 29/03/2011
Re: Armurerie du château.
Et c'est quelques heures, de longue heures à ranger et laver, après, que le rat eu enfin fini le plus gros du travail ! La poussière lui avait envahie les narines et son museau le démangeait dangereusement, sortant un mouchoir qu'il avait gagné aux jeux, il évacua tout ce surplus en grand bruit.
Le fond de l'air était froid mais lui avait chaud, à s'activer de la sorte il ne pouvait en être autant et cela fessait un bon échauffement, il était venu à l'origine pour observer et ce familiariser avec les lieux, mais aussi pour s’entraîner. En effet après de long mois passé chez les moines, le pauvre rat avait peur d'avoir un peu perdu...
Prenant une épée à deux main, la posant sur son épaule, il sorti dans la cours s'exercer un peux.
De la fumé s'échappait de ses lèvres à chaque expiration, et la sueur qui c'était crée sur son visage ce transforma vite en carapace de froid.
La température lui mordait l'échine et il fallait vite ce mettre à l'entrainement.
Prenant l'épée à deux main, le rat la souleva au dessus de sa tête avant de l'abattre devant lui, et réitéra le geste jusqu'à ce que ses muscles lui brûle. Il n'y avait rien ni personne autour de lui et son esprit était totalement dirigé vers cette exercice de base du maniement de la grande épée.
Le fond de l'air était froid mais lui avait chaud, à s'activer de la sorte il ne pouvait en être autant et cela fessait un bon échauffement, il était venu à l'origine pour observer et ce familiariser avec les lieux, mais aussi pour s’entraîner. En effet après de long mois passé chez les moines, le pauvre rat avait peur d'avoir un peu perdu...
Prenant une épée à deux main, la posant sur son épaule, il sorti dans la cours s'exercer un peux.
De la fumé s'échappait de ses lèvres à chaque expiration, et la sueur qui c'était crée sur son visage ce transforma vite en carapace de froid.
La température lui mordait l'échine et il fallait vite ce mettre à l'entrainement.
Prenant l'épée à deux main, le rat la souleva au dessus de sa tête avant de l'abattre devant lui, et réitéra le geste jusqu'à ce que ses muscles lui brûle. Il n'y avait rien ni personne autour de lui et son esprit était totalement dirigé vers cette exercice de base du maniement de la grande épée.
Niark- Messages : 68
Date d'inscription : 29/03/2011
Re: Armurerie du château.
[Appartements de la duchesse]
Penchée sur son bureau, occupée à la rédaction d'un pli, elle relève le nez, sourcils un brin froncés.
Quelque chose perturbe le calme infini qui règne habituellement en ces lieux. Bruits de pas, déplacements d'air, en provenance de la cour. Un exercice? Habituellement, Youen entraine ses hommes à l'extérieur de l'enceinte pour ne pas perturber son travail.
Non, le bruit n'a rien à voir avec le raffut que peuvent faire une trentaine d'hommes en armes.
Intriguée, elle se lève et va jeter un œil par sa fenêtre ouverte.
Lui.
Évidemment.
Elle n'y avait pas pensé, guère habituée encore à le savoir presque continuellement en les murs de sa demeure.
Accoudée sur le rebord de la fenêtre, elle l'observe, détaillant chaque geste, autant élève avide d'apprendre que femme savourant les courbes du corps masculin en plein effort.
Penchée sur son bureau, occupée à la rédaction d'un pli, elle relève le nez, sourcils un brin froncés.
Quelque chose perturbe le calme infini qui règne habituellement en ces lieux. Bruits de pas, déplacements d'air, en provenance de la cour. Un exercice? Habituellement, Youen entraine ses hommes à l'extérieur de l'enceinte pour ne pas perturber son travail.
Non, le bruit n'a rien à voir avec le raffut que peuvent faire une trentaine d'hommes en armes.
Intriguée, elle se lève et va jeter un œil par sa fenêtre ouverte.
Lui.
Évidemment.
Elle n'y avait pas pensé, guère habituée encore à le savoir presque continuellement en les murs de sa demeure.
Accoudée sur le rebord de la fenêtre, elle l'observe, détaillant chaque geste, autant élève avide d'apprendre que femme savourant les courbes du corps masculin en plein effort.
Re: Armurerie du château.
Le froid lui mort le corps tout comme l'exercice lui dévore d'un feu hardant tout ses muscle du dos et des bras... L'épée ce fait de plus en plus lourde alors qu'il ne compte plus ses séries qui n'en finissent pas.
D'ailleurs tout l'art du combat a l'épée n'est pas la force brute en elle même, mais tout simplement avant tout, l'endurance et l'économie de ses forces.
Et c'est donc après avoir poussé ses limites à fond que le rat laisse retomber la pointe de l'épée dans le sol pour s'en servir de trépied.
Sa respiration ce fait forte et irrégulière, il n'a plus ses 16 ans et l'exercice ce fait plus dur, d'ailleurs il a perdu chez les moines et son mal n'a rien fait pour arranger les choses. Il toussa, une toux roque et profonde, sèche et douloureuse... Ressortant son mouchoir il s'essuya la bouche avant de le ranger, las de ce mal qui s'enfuit mais ne disparaît pas !
Il en était asse des l'exercice de force, il fallait passer à la technique, et pour ce faire le rat retourna dans l'armurerie pour tronquer sa lourde épée contre une fine à une main. L'arme étant plus légère elle en est plus maniable !
Un instant le rat ce senti fixé, il regarda autour de lui mais rien, le calme toujours présent, personne en vue, les lieux étaient des plus désert et cela ne manquait pas de plaire à ce solitaire.
Revenant a son entrainement, ce disant que ses sens lui jouent des tours, il s'imagina une adversaire, allant puiser dans ses plus lointains souvenir, son maître en la matière était l'adversaire parfait, et c'est donc cet homme mort depuis maintenant plus de 20 ans, qu'il combattrait ! Par respect, par vengeance ?!
La lame du rat fila dans l'air, jambe fléchit il avançait doucement, jambes fléchit et fessant face de profile a son adversaire imaginaire, pieds perpendiculaire il avançait comme cela, attaquant de haut en bas, en coup d'estoque ! Le combat était rude et la sueur coulait doucement le long de ses tempes. Tournant de gauche a droite, changeant de flan d'attaque... Ses pieds glisse sur le sol et s'enroule sous son corps avec légèreté.
Quand les attaques à une main ne donne aucun résultats, le rat empoigne son arme à deux mains pour infliger des attaques lourde à son adversaire. Les mains au dessus de la tête, la lame pointant le cou de l'adversaire, il attaque et ce défend, lame en oblique vers le sol.
Tout en ce concentrant le rat ce mis à parler son adversaire :
- Alors vieux maître, l'âge ne t'as pas épargné dis moi ?! Il fut un temps ou trempe sur trempe tu foutais au rat mais regarde toi maintenant, plus capable de porter un coup sans risquer un tour de rein...
Tout en combattant ses adversaire changeaient, prenant la forme de rivaux, d'ennemie ancien et respecté ou non, de brigands croisé sur les chemins, de simple idiots croisé en taverne... Le passé resurgi devant les yeux du du rat et sa rage prent de plus en plus forme dans ses mouvement, ceux si devenant plus agressif et plus puissant. Un duel peut être assimilé a une valse avec la mort, les pieds et jambes tournes et danse avec légèreté alors que l'esprit est aiguisé à la survie, le rat a passé sa vie à survivre de son passé et a danser avec la mort.
Etant seul le rat a mis de côté son visage d'homme bon et agréable, seul son caractère guerrier et combatif, sa rage et sa rancœur laisse paraître ici.
Ses adversaire imaginaire disparaisse petit a petit transpercé, découpé, renversé.
La valse fini par prendre fin, toute la rage du rat s'envole, il ce retrouve seul, au milieu de cette petite cours, ce sentant vieux et las il s'assoie sur un petit banc de bois brute, reprenant son souffle et fessant le point sur sa vie.
D'ailleurs tout l'art du combat a l'épée n'est pas la force brute en elle même, mais tout simplement avant tout, l'endurance et l'économie de ses forces.
Et c'est donc après avoir poussé ses limites à fond que le rat laisse retomber la pointe de l'épée dans le sol pour s'en servir de trépied.
Sa respiration ce fait forte et irrégulière, il n'a plus ses 16 ans et l'exercice ce fait plus dur, d'ailleurs il a perdu chez les moines et son mal n'a rien fait pour arranger les choses. Il toussa, une toux roque et profonde, sèche et douloureuse... Ressortant son mouchoir il s'essuya la bouche avant de le ranger, las de ce mal qui s'enfuit mais ne disparaît pas !
Il en était asse des l'exercice de force, il fallait passer à la technique, et pour ce faire le rat retourna dans l'armurerie pour tronquer sa lourde épée contre une fine à une main. L'arme étant plus légère elle en est plus maniable !
Un instant le rat ce senti fixé, il regarda autour de lui mais rien, le calme toujours présent, personne en vue, les lieux étaient des plus désert et cela ne manquait pas de plaire à ce solitaire.
Revenant a son entrainement, ce disant que ses sens lui jouent des tours, il s'imagina une adversaire, allant puiser dans ses plus lointains souvenir, son maître en la matière était l'adversaire parfait, et c'est donc cet homme mort depuis maintenant plus de 20 ans, qu'il combattrait ! Par respect, par vengeance ?!
La lame du rat fila dans l'air, jambe fléchit il avançait doucement, jambes fléchit et fessant face de profile a son adversaire imaginaire, pieds perpendiculaire il avançait comme cela, attaquant de haut en bas, en coup d'estoque ! Le combat était rude et la sueur coulait doucement le long de ses tempes. Tournant de gauche a droite, changeant de flan d'attaque... Ses pieds glisse sur le sol et s'enroule sous son corps avec légèreté.
Quand les attaques à une main ne donne aucun résultats, le rat empoigne son arme à deux mains pour infliger des attaques lourde à son adversaire. Les mains au dessus de la tête, la lame pointant le cou de l'adversaire, il attaque et ce défend, lame en oblique vers le sol.
Tout en ce concentrant le rat ce mis à parler son adversaire :
- Alors vieux maître, l'âge ne t'as pas épargné dis moi ?! Il fut un temps ou trempe sur trempe tu foutais au rat mais regarde toi maintenant, plus capable de porter un coup sans risquer un tour de rein...
Tout en combattant ses adversaire changeaient, prenant la forme de rivaux, d'ennemie ancien et respecté ou non, de brigands croisé sur les chemins, de simple idiots croisé en taverne... Le passé resurgi devant les yeux du du rat et sa rage prent de plus en plus forme dans ses mouvement, ceux si devenant plus agressif et plus puissant. Un duel peut être assimilé a une valse avec la mort, les pieds et jambes tournes et danse avec légèreté alors que l'esprit est aiguisé à la survie, le rat a passé sa vie à survivre de son passé et a danser avec la mort.
Etant seul le rat a mis de côté son visage d'homme bon et agréable, seul son caractère guerrier et combatif, sa rage et sa rancœur laisse paraître ici.
Ses adversaire imaginaire disparaisse petit a petit transpercé, découpé, renversé.
La valse fini par prendre fin, toute la rage du rat s'envole, il ce retrouve seul, au milieu de cette petite cours, ce sentant vieux et las il s'assoie sur un petit banc de bois brute, reprenant son souffle et fessant le point sur sa vie.
Niark- Messages : 68
Date d'inscription : 29/03/2011
Re: Armurerie du château.
Et les yeux d'azur suivent chaque mouvement, curieux et intrigués, charmés également par l'élégance de la danse. Le maniement des armes est un art, il faudrait être sot, devant telle démonstration, pour ne pas le reconnaître.
Elle revoit Terenemar qui autrefois dans les locaux des enfants de la déesse lui avait enseigné les rudiments du combat. Elle n'en avait que très peu fait usage depuis lors, et avait peiné lors des rares combats où cette guerre l'avait entrainée à faire ressurgir ces acquis. Devant lame ennemie, pourtant, le corps sait réagir.
Elle n'avait pourtant ni tué, ni blessé pendant ces rares affrontements, tentant d'articuler sa nécessaire participation au conflit avec ses propres valeurs, et passé le plus clair du temps de guerre sur le pont d'un navire à scruter l'horizon, à douter de la moindre voile alentour, ne pouvant protéger la cargaison de ravitaillement du frêle esquif que par des manœuvres bien senties. Ils en avaient eu, des sueurs froides, qui bien souvent s'étaient muées en chopes entrechoquées, tintant de soulagement.
L'AGOurs reposait désormais au fond de l'océan, victime de la guerre que la trêve n'avait pas su protéger.
La duchesse est tirée de ses songes lorsque la voix de son Sénéchal s'eleve dans la cour. Un sourire fin se dessine sur ses lèvres, et elle l'écoute, imaginant presque tout aussi bien que lui le spectre de son passé contre qui il bataille. Elle en sait si peu sur ce qui a fait sa vie, et reçoit chaque bribe comme un cadeau précieux.
Elle n'a cependant guère le temps de méditer plus longuement, et les sourcils se froncent lorsque le rat se fait plus belliqueux, contre un ennemi qu'elle n'aurait pas voulu être. Et puis après la tempête, la colère ou le surplus d'énergie évacuées, la victoire acquise ou du moins rudement disputée, il s'assied, semblant soudain bien las, les épaules affaissées. Elle est surprise de ce changement subit, et choisit ce moment pour faire ressurgir l'homme d'armes en lui...
- Êtes vous déjà épuisé, où saurez vous faire aussi mon entrainement, sénéchal?
Elle attend qu'il repère l'origine du bruit et lève le museau vers elle, et le salue, quand même.
- Demat, Niark.
Sourire franc, un brin teinté d'admiration, avant de tourner les yeux vers Nolwenn occupée sur son ouvrage.
- Nolwenn, je descends le rejoindre, fais nous porter de quoi boire.
Sur ces mots, elle quitte son rebord de fenêtre et entreprend de le rejoindre.
Quelques instants plus tard, la voilà qui émerge dans la cour. L'air frais la revigore, et elle apprécie cette petite sortie.
Elle traverse la cour, s'approche de lui et se campe près de lui avant de désigner l'épée du menton.
- Jolie démonstration... même si elle n'était pas destinée à être observée.
Elle revoit Terenemar qui autrefois dans les locaux des enfants de la déesse lui avait enseigné les rudiments du combat. Elle n'en avait que très peu fait usage depuis lors, et avait peiné lors des rares combats où cette guerre l'avait entrainée à faire ressurgir ces acquis. Devant lame ennemie, pourtant, le corps sait réagir.
Elle n'avait pourtant ni tué, ni blessé pendant ces rares affrontements, tentant d'articuler sa nécessaire participation au conflit avec ses propres valeurs, et passé le plus clair du temps de guerre sur le pont d'un navire à scruter l'horizon, à douter de la moindre voile alentour, ne pouvant protéger la cargaison de ravitaillement du frêle esquif que par des manœuvres bien senties. Ils en avaient eu, des sueurs froides, qui bien souvent s'étaient muées en chopes entrechoquées, tintant de soulagement.
L'AGOurs reposait désormais au fond de l'océan, victime de la guerre que la trêve n'avait pas su protéger.
La duchesse est tirée de ses songes lorsque la voix de son Sénéchal s'eleve dans la cour. Un sourire fin se dessine sur ses lèvres, et elle l'écoute, imaginant presque tout aussi bien que lui le spectre de son passé contre qui il bataille. Elle en sait si peu sur ce qui a fait sa vie, et reçoit chaque bribe comme un cadeau précieux.
Elle n'a cependant guère le temps de méditer plus longuement, et les sourcils se froncent lorsque le rat se fait plus belliqueux, contre un ennemi qu'elle n'aurait pas voulu être. Et puis après la tempête, la colère ou le surplus d'énergie évacuées, la victoire acquise ou du moins rudement disputée, il s'assied, semblant soudain bien las, les épaules affaissées. Elle est surprise de ce changement subit, et choisit ce moment pour faire ressurgir l'homme d'armes en lui...
- Êtes vous déjà épuisé, où saurez vous faire aussi mon entrainement, sénéchal?
Elle attend qu'il repère l'origine du bruit et lève le museau vers elle, et le salue, quand même.
- Demat, Niark.
Sourire franc, un brin teinté d'admiration, avant de tourner les yeux vers Nolwenn occupée sur son ouvrage.
- Nolwenn, je descends le rejoindre, fais nous porter de quoi boire.
Sur ces mots, elle quitte son rebord de fenêtre et entreprend de le rejoindre.
Quelques instants plus tard, la voilà qui émerge dans la cour. L'air frais la revigore, et elle apprécie cette petite sortie.
Elle traverse la cour, s'approche de lui et se campe près de lui avant de désigner l'épée du menton.
- Jolie démonstration... même si elle n'était pas destinée à être observée.
Re: Armurerie du château.
Le rat était perdu dans ses songes lorsqu'une voix le fit sursauter, manquant même de le faire tomber à la renverse de son banc...
Levant les yeux vers la fenêtre d’où provenait la voix il la vit, l'observant de haut.
Elle était là, depuis combien de temps le regardait elle ? Que pensait elle de lui, le regard que cette Duchesse rousse avait de lui suffisait à lui dicter son moral du moment. Jamais il n'avait cru qu'un jour, le rat allait pouvoir faire si attention à une personne. Une multitude de questions fusa dans son esprit.
Le taquinant comme à son habitude le rat ne répondit pas, ne voulant crier au milieu de cette cours, et puis... La question méritait elle une réponse ? Bien sur qu'il était en état de l’entraîner, de combattre, pour elle il était capable de tout et son poste lui imposait de pouvoir tout faire !
La nostalgie et la lassitude laissèrent place au désirs de bien faire, de plaire, de charmer...
Levant le pouce vers elle, tout comme les romains signaient pour accorder le droit de vie à un gladiateur, ici le rat s'accordait ce droit et prouvait à sa Duchesse qu'il était encore apte à s'exercer.
Elle disparu un moment, était elle parti tout simplement ? Le rejoignait elle ?
La réponse fut vite à arriver, la rousse de ce rat fit irruption dans la cours, et d'un pas sur le rejoignis , lui demandant un entraînement, la maintenant, à l'improviste.
S'inclinant légèrement, lui prenant la main dans la sienne avec délicatesse, il y déposa un simple baisé !
- Demat votre Grace ! J’espère ne pas vous avoir dérangé dans un quel conque travail ?!
Prenant son visage courtois et amicale faussement désolé.
- Mais dites moi... Depuis combien de temps étiez vous à la fenêtre à espionner votre Sénéchal ??
Le rat ne voulait pas qu'elle l'ai vue en pleine rage, il ne voulait pas qu'elle l'ai vue comme une bête assoiffé de combats, il voulait simplement qu'elle garde en l'esprit qu'il n'était qu'homme de verve et de charme.
Pour cacher la cause réel de sa question, un sourire taquin ce dessina sur son visage, voulant faire passer cette question comme une boutade emplis de sous entendu !!
Un petit sourire en coin, flatté par le compliment de la Duchesse, il était évidemment heureux que sa petite démonstration lui eu plus, si il n’avait sus manier l’épée comment la Duchesse aux boucles rousse aurait-elle pu le garder comme Sénéchal ?!
- Je vous remercie votre Grace… Mais ce n’était qu’un simple entraînement ! Lors de vrai combat il en est tout diffèrent et surement moins gracieux….
Puis la regardant de haut en bas, il soupira doucement, était elle vraiment en tenu pour s’entraîner ? Le rat bien entendu la trouvait des plus élégante dans sa robe, et cela pour ne pas dire, qu'il la trouvait charmante. Il la connaissait plutôt précieuse, jamais il ne l'avait débraillé, mais pour s’entraîner il faut avant tout être à l'aise dans ses mouvements.
Un petit sourire moqueur aux lèvres.
- Votre Grace, mis à part si vous compter gagner vos combat sans la moindre violence en charmant votre adversaire par vos charmes et vos courbes sans limites, je ne crains que votre tenu ne soit pas adapter à un combat tout comme à un entraînement.
La regardant avec insistance, autant autoritaire que admiratif devant ses charmes. Tout en parlant ses doigts jouaient sur le pommeau de son épée.
- Changez vous votre Grace et nous commencerons l’entraînement par un petit échauffement puis un duel tout ce qu'il y a de plus simple pour faire une mise au point de vos connaissance... Et je vous mes en garde, ne jouez pas de vos charme sur moi, cela risque de ce retourner contre vous.
Levant les yeux vers la fenêtre d’où provenait la voix il la vit, l'observant de haut.
Elle était là, depuis combien de temps le regardait elle ? Que pensait elle de lui, le regard que cette Duchesse rousse avait de lui suffisait à lui dicter son moral du moment. Jamais il n'avait cru qu'un jour, le rat allait pouvoir faire si attention à une personne. Une multitude de questions fusa dans son esprit.
Le taquinant comme à son habitude le rat ne répondit pas, ne voulant crier au milieu de cette cours, et puis... La question méritait elle une réponse ? Bien sur qu'il était en état de l’entraîner, de combattre, pour elle il était capable de tout et son poste lui imposait de pouvoir tout faire !
La nostalgie et la lassitude laissèrent place au désirs de bien faire, de plaire, de charmer...
Levant le pouce vers elle, tout comme les romains signaient pour accorder le droit de vie à un gladiateur, ici le rat s'accordait ce droit et prouvait à sa Duchesse qu'il était encore apte à s'exercer.
Elle disparu un moment, était elle parti tout simplement ? Le rejoignait elle ?
La réponse fut vite à arriver, la rousse de ce rat fit irruption dans la cours, et d'un pas sur le rejoignis , lui demandant un entraînement, la maintenant, à l'improviste.
S'inclinant légèrement, lui prenant la main dans la sienne avec délicatesse, il y déposa un simple baisé !
- Demat votre Grace ! J’espère ne pas vous avoir dérangé dans un quel conque travail ?!
Prenant son visage courtois et amicale faussement désolé.
- Mais dites moi... Depuis combien de temps étiez vous à la fenêtre à espionner votre Sénéchal ??
Le rat ne voulait pas qu'elle l'ai vue en pleine rage, il ne voulait pas qu'elle l'ai vue comme une bête assoiffé de combats, il voulait simplement qu'elle garde en l'esprit qu'il n'était qu'homme de verve et de charme.
Pour cacher la cause réel de sa question, un sourire taquin ce dessina sur son visage, voulant faire passer cette question comme une boutade emplis de sous entendu !!
Un petit sourire en coin, flatté par le compliment de la Duchesse, il était évidemment heureux que sa petite démonstration lui eu plus, si il n’avait sus manier l’épée comment la Duchesse aux boucles rousse aurait-elle pu le garder comme Sénéchal ?!
- Je vous remercie votre Grace… Mais ce n’était qu’un simple entraînement ! Lors de vrai combat il en est tout diffèrent et surement moins gracieux….
Puis la regardant de haut en bas, il soupira doucement, était elle vraiment en tenu pour s’entraîner ? Le rat bien entendu la trouvait des plus élégante dans sa robe, et cela pour ne pas dire, qu'il la trouvait charmante. Il la connaissait plutôt précieuse, jamais il ne l'avait débraillé, mais pour s’entraîner il faut avant tout être à l'aise dans ses mouvements.
Un petit sourire moqueur aux lèvres.
- Votre Grace, mis à part si vous compter gagner vos combat sans la moindre violence en charmant votre adversaire par vos charmes et vos courbes sans limites, je ne crains que votre tenu ne soit pas adapter à un combat tout comme à un entraînement.
La regardant avec insistance, autant autoritaire que admiratif devant ses charmes. Tout en parlant ses doigts jouaient sur le pommeau de son épée.
- Changez vous votre Grace et nous commencerons l’entraînement par un petit échauffement puis un duel tout ce qu'il y a de plus simple pour faire une mise au point de vos connaissance... Et je vous mes en garde, ne jouez pas de vos charme sur moi, cela risque de ce retourner contre vous.
Niark- Messages : 68
Date d'inscription : 29/03/2011
Re: Armurerie du château.
- Quelques instants à peine, ment-elle, se refusant à faire l’aveu qu’elle est restée accoudée là pendant toute la durée de son entrainement. Sous entendre qu’elle a délaissé toute activité pour l’épier de ses prunelles curieuses ? Jamais !
- Et non, vous n’avez pas perturbé mon travail. N’ayez crainte. J’aurais très bien pu fermer ma fenêtre si cela avait été le cas. J’aime entendre ma demeure vivre…
Il reprend la parole lui proposant de se mettre au travail, et la rousse se surprend à regretter d’avoir proposé cet exercice.
- Fort bien, ne refroidissez pas, en ce cas.
Bravache, malgré tout. Elle lui sourit avant de s'éloigner, et le sourire se fane à mesure qu'elle remonte les marches vers ses appartements. Le doute l'assaille à lui en faire tourner la tête. Un suzerain se doit de faire forte impression à ses gens, et la voilà qui se propose de se livrer en pleine cour aux arts du combat qu’elle maitrise finalement bien peu.
La vie n’est qu’un long apprentissage, disait-elle sans cesse aux neveziads. Il lui fallait désormais accepter d’être à nouveau dans la posture du petit être quasi-vierge de tout savoir. Elle devait bien se l’avouer, c’était devant lui que mettre à jour ses faiblesses la contrariait le plus, mais il était à présent hors de question de faire marche arrière. Le maître était là, il attendait son élève. Les rangs étaient abolis, soudain, et voilà peut-être bien ce qui la terrorisait aussi, si accoutumée qu’elle était à bénéficier sans en jouer vraiment de cette désincarnée protection.
Alors que Nolwenn la dévêtit, elle se repasse chaque mouvement précédemment observé et tente d’exhumer chaque instant passé avec Terenemar, et sur les champs de bataille. Elle s'aperçoit à peine des manœuvres de sa servante, qui lui passe des braies brunes couvertes d’une tunique de lin claire maintenue en place par une épaisse ceinture de cuir, et jette sur ses épaules une capeline bordée de fourrure qu’elle fixe à l’aide d’une fibule d’or.
- Chignon…
La duchesse soudain a perdu de sa verve. L’angoisse de l’entrainement à venir lui noue curieusement l’estomac.
Elle est encore dans ses songes lorsque Nolwenn la chausse, et finit par murmurer:
- Mon épée, dans le coffre au pied du lit.
Merci…
Faut-il qu'elle se la plante dans le pied maladroitement pour éviter une potentielle humiliation? La pensée lui arrache une grimace, et elle se lève après une profonde inspiration pour redescendre le rejoindre. Elle se plante au devant de lui, la pointe de l'épée au sol et non pas dans son peton, déhanché négligé.
- Cela vous convient-il, sénéchal ?
La voix est presque timide, soudain.
- Et non, vous n’avez pas perturbé mon travail. N’ayez crainte. J’aurais très bien pu fermer ma fenêtre si cela avait été le cas. J’aime entendre ma demeure vivre…
Il reprend la parole lui proposant de se mettre au travail, et la rousse se surprend à regretter d’avoir proposé cet exercice.
- Fort bien, ne refroidissez pas, en ce cas.
Bravache, malgré tout. Elle lui sourit avant de s'éloigner, et le sourire se fane à mesure qu'elle remonte les marches vers ses appartements. Le doute l'assaille à lui en faire tourner la tête. Un suzerain se doit de faire forte impression à ses gens, et la voilà qui se propose de se livrer en pleine cour aux arts du combat qu’elle maitrise finalement bien peu.
La vie n’est qu’un long apprentissage, disait-elle sans cesse aux neveziads. Il lui fallait désormais accepter d’être à nouveau dans la posture du petit être quasi-vierge de tout savoir. Elle devait bien se l’avouer, c’était devant lui que mettre à jour ses faiblesses la contrariait le plus, mais il était à présent hors de question de faire marche arrière. Le maître était là, il attendait son élève. Les rangs étaient abolis, soudain, et voilà peut-être bien ce qui la terrorisait aussi, si accoutumée qu’elle était à bénéficier sans en jouer vraiment de cette désincarnée protection.
Alors que Nolwenn la dévêtit, elle se repasse chaque mouvement précédemment observé et tente d’exhumer chaque instant passé avec Terenemar, et sur les champs de bataille. Elle s'aperçoit à peine des manœuvres de sa servante, qui lui passe des braies brunes couvertes d’une tunique de lin claire maintenue en place par une épaisse ceinture de cuir, et jette sur ses épaules une capeline bordée de fourrure qu’elle fixe à l’aide d’une fibule d’or.
- Chignon…
La duchesse soudain a perdu de sa verve. L’angoisse de l’entrainement à venir lui noue curieusement l’estomac.
Elle est encore dans ses songes lorsque Nolwenn la chausse, et finit par murmurer:
- Mon épée, dans le coffre au pied du lit.
Merci…
Faut-il qu'elle se la plante dans le pied maladroitement pour éviter une potentielle humiliation? La pensée lui arrache une grimace, et elle se lève après une profonde inspiration pour redescendre le rejoindre. Elle se plante au devant de lui, la pointe de l'épée au sol et non pas dans son peton, déhanché négligé.
- Cela vous convient-il, sénéchal ?
La voix est presque timide, soudain.
Re: Armurerie du château.
Le Rat l'écoutait, quelques instants disaient elle ! Il ne la connaissait que peut et être disait elle vrai, mais peut être étais ce un petit mensonge... Il la savait taquine et joueuse, donc avec cette Duchesse la tout était possible.
Il n'en saurait pas plus et cela était pas plus mal pour lui, la réponse de Chimera lui allait très bien, qu'elle ne l'ai pas vue avec ses vieux démons, même si elle lui mentait, lui permettait de respirer un peux mieux.
Le Duchesse parti en direction de ses appartements pour ce changer, laissant le rat seul au milieu de cette petite cours.
Il alla ranger l'épée avec la quelle il c'était entraîné, pour en sortir deux à la lame émoussé ! En effet le but n'était ni de blesser la Duchesse ni de ce blesser lui même...
Son pauvre corps avaient asse de cicatrices comme cela pour ne pas à en rajouté bêtement lors d'un entrainement.
Il posa donc les deux épées contre le banc et retira sa chemise qui était toute trempé de sueur, ce qui, avec le froid était pas bien vivable ! Mieux lui valait d'être torse nu si il ne voulait pas retomber malade.
Et puis... Pour être franc... Il voulait aussi s'amuser à voir la réaction de la Duchesse ! Il aimait à la taquiner le rat, à la pousser dans ses moindres retranchements !
C'est donc, le torse ,puissant recouvert de plus ou moins grande cicatrices, nu qu'il attendit la Duchesse.
Duchesse qui était d'ailleurs longue à revenir trouva t'il. Le rat lorsqu'il entraîne perd une bonne parti de son charme et de sa patience, il aime que les choses file droit, il aime que l'élève soit attentif et sérieux... Il avait déjà entraîné moulte soldat à la guerre, et plusieurs en étaient sorti marqué à vie.
Mais ici il n'avait pas à faire à un paysans devant manier l'épée pour son Duché, il avait à faire à une Duchesse qui d'ailleurs devait avoir quelques bases tout du moins en maniement de cette noble arme.
Chimera refit son apparition dans une tenu plus adéquate à l'entrainement et épée à la main. Une très belle épée d'ailleurs... Le Rat ce demanda d'ailleurs si elle le fessait consciemment... C'est donc en ce frottant les yeux dépité qu'il ramassa une des deux épées émoussé et alla faire face à la Duchesse, ne prenant pas en compte cette soudaine et curieuse timidité !
- Alors bon... Pour commencer la tenu est correcte oui !!
La voyant mollassonne et négligé, le Rat lui donna un coup ,du plat de l'épée, sur la cuisses puis sur la lame de sa divine épée.
- Bon alors premièrement votre Grâce, quand on tiens son épée, on ce tiens droit, il faut que le corps soit ferme et sur, tout en restant souple !! On ne porte pas l'épée comme on porte la pelle pour aller au champ... hop hop allé montré moi que vous méritez au moins que je vous enseigne quoi que ce soit.
Soupire et lui donne des petits coup jusqu'à ce qu'elle ce tienne bien droit et sur d'elle !! Non mais, elle était Duchesse pas paysanne...
Il n'en serait pas plus tendre pour autant, que cela soit dit, le Rat aime à bien faire les choses et il s'y applique.
Puis regardant l'épée de la Duchesse, soupirant à grand bruit.
- Et vous comptez allez à la guerre la ? Ou à une cérémonie ? On est à l'entrainement Duchesse vous ne pensez quand même pas qu'on va commencer directement à l'épée aiguisé... Je n'ai ni envie de vous blesser ni de l'être !! Et puis regardez moi cette magnifique épée, on va pas prendre le risque de l’abîmée pour un simple entrainement.
Allez me chercher l'épée à lame émoussé qui ce trouve contre le banc la bas et laissez y votre épée.
Si vous le désirez vraiment nous combattrons avec de vrai épées une fois que j'aurais jugé de votre niveau...
Restant à la même place, la lame de l'épée sur l'épaule il attendit que la Duchesse aille chercher son épée pour commencer l'entrainement.
Il n'en saurait pas plus et cela était pas plus mal pour lui, la réponse de Chimera lui allait très bien, qu'elle ne l'ai pas vue avec ses vieux démons, même si elle lui mentait, lui permettait de respirer un peux mieux.
Le Duchesse parti en direction de ses appartements pour ce changer, laissant le rat seul au milieu de cette petite cours.
Il alla ranger l'épée avec la quelle il c'était entraîné, pour en sortir deux à la lame émoussé ! En effet le but n'était ni de blesser la Duchesse ni de ce blesser lui même...
Son pauvre corps avaient asse de cicatrices comme cela pour ne pas à en rajouté bêtement lors d'un entrainement.
Il posa donc les deux épées contre le banc et retira sa chemise qui était toute trempé de sueur, ce qui, avec le froid était pas bien vivable ! Mieux lui valait d'être torse nu si il ne voulait pas retomber malade.
Et puis... Pour être franc... Il voulait aussi s'amuser à voir la réaction de la Duchesse ! Il aimait à la taquiner le rat, à la pousser dans ses moindres retranchements !
C'est donc, le torse ,puissant recouvert de plus ou moins grande cicatrices, nu qu'il attendit la Duchesse.
Duchesse qui était d'ailleurs longue à revenir trouva t'il. Le rat lorsqu'il entraîne perd une bonne parti de son charme et de sa patience, il aime que les choses file droit, il aime que l'élève soit attentif et sérieux... Il avait déjà entraîné moulte soldat à la guerre, et plusieurs en étaient sorti marqué à vie.
Mais ici il n'avait pas à faire à un paysans devant manier l'épée pour son Duché, il avait à faire à une Duchesse qui d'ailleurs devait avoir quelques bases tout du moins en maniement de cette noble arme.
Chimera refit son apparition dans une tenu plus adéquate à l'entrainement et épée à la main. Une très belle épée d'ailleurs... Le Rat ce demanda d'ailleurs si elle le fessait consciemment... C'est donc en ce frottant les yeux dépité qu'il ramassa une des deux épées émoussé et alla faire face à la Duchesse, ne prenant pas en compte cette soudaine et curieuse timidité !
- Alors bon... Pour commencer la tenu est correcte oui !!
La voyant mollassonne et négligé, le Rat lui donna un coup ,du plat de l'épée, sur la cuisses puis sur la lame de sa divine épée.
- Bon alors premièrement votre Grâce, quand on tiens son épée, on ce tiens droit, il faut que le corps soit ferme et sur, tout en restant souple !! On ne porte pas l'épée comme on porte la pelle pour aller au champ... hop hop allé montré moi que vous méritez au moins que je vous enseigne quoi que ce soit.
Soupire et lui donne des petits coup jusqu'à ce qu'elle ce tienne bien droit et sur d'elle !! Non mais, elle était Duchesse pas paysanne...
Il n'en serait pas plus tendre pour autant, que cela soit dit, le Rat aime à bien faire les choses et il s'y applique.
Puis regardant l'épée de la Duchesse, soupirant à grand bruit.
- Et vous comptez allez à la guerre la ? Ou à une cérémonie ? On est à l'entrainement Duchesse vous ne pensez quand même pas qu'on va commencer directement à l'épée aiguisé... Je n'ai ni envie de vous blesser ni de l'être !! Et puis regardez moi cette magnifique épée, on va pas prendre le risque de l’abîmée pour un simple entrainement.
Allez me chercher l'épée à lame émoussé qui ce trouve contre le banc la bas et laissez y votre épée.
Si vous le désirez vraiment nous combattrons avec de vrai épées une fois que j'aurais jugé de votre niveau...
Restant à la même place, la lame de l'épée sur l'épaule il attendit que la Duchesse aille chercher son épée pour commencer l'entrainement.
Niark- Messages : 68
Date d'inscription : 29/03/2011
Re: Armurerie du château.
Il avait mentionné un échauffement. Si c'est de ça dont tu parles, rat chafouin, saches que non, je ne rougirai pas! J'en ai déjà vu, des hommes à moitié nus! J'ai dit, je ne rougirai pas.
Pas de ça du moins...
Diantre, elle espère n'avoir pas à rougir de sa performance à venir...
La troubleuse troublée, bien joué. Le combat se livre-t-il sur plusieurs terrains à la fois? De cela il ne l'a pas prévenue, mais elle doit avouer qu'elle est mieux armée dans celui là que dans l'autre.
Quoique...
Drapé dans son rôle, le rat ne se départit pas d'un désarmant et olympien calme.
Craquant, aurait dit une jeune fille en fleur. Charmant, dit la duchesse qui, plutôt accoutumée à ce genre de visions, apprécie la qualité du spectacle. Les yeux se posent sur les divers témoignages des combats passés ornant la peau de son mestre du jour, et prennent toute la mesure de son ignorance quant au passé du sénéchal. Quel est ce souvenir là? Et celui-ci, juste là?
Elle cligne des yeux soudain, s'apercevant qu'elle le détorsage de façon fort discourtoise.
Gentlerat probablement malgré lui, il la sauve de l'embarras d'une rougeur embarassante en la taquinant du plat de l'épée ici, et là, la rappelant à l'ordre quant à sa posture trop lascive. Elle manque d'en lâcher son épée, surprise par le geste, et doit l'empoigner plus franchement pour éviter qu'elle ne lui échappe. Il n'est pas là, une fois n'est pas coutume, pour plaisanter. L'image de l'homme à l'état sauvage vient flotter un instant devant ses yeux brièvement déconcertés, qu'elle chasse en hochant la tête.
- Sénéchal, oui sénéchal...
Elle s'exécute, tentant une plaisanterie pour détendre son atmosphère, s'efforçant de faire montre d'un maintien gainé alors que vers le banc elle se dirige, surveillant son challenger du coin de l'oeil. Ne jamais tourner le dos...
Comme "invitée" à le faire, invitation brusque et sans fioritures, elle dépose docilement son épée sur le banc pour y prélever l'autre. Moins élégante, plus grossière. Elle la soupèse en la faisant passer d'une main dans l'autre, sans oser en faire trop, se sachant observée.
Se tournant de nouveau, vers lui, droite et alerte, souple sur ses genoux, prête à esquiver le plat de l'épée dut-elle avoir encore fait quelque chose de travers, elle le regarde. Il n'est plus l'heure pour les ronds de jambe ni pour les boutades amusées. Compris. Elle doit faire de son mieux pour ne pas déglutir, tant le changement dans son attitude est brutale. Il est méconnaissable, c'est la douche froide.
Elle sait, pourtant. Point de plaisanteries sur ce terrain qu'il connait si bien. Elle accepte donc le climat nouveau, et ouvre l'oeil pour en scruter l'évolution...
Pour la première fois depuis leur rencontre, elle le redoute...
Pas de ça du moins...
Diantre, elle espère n'avoir pas à rougir de sa performance à venir...
La troubleuse troublée, bien joué. Le combat se livre-t-il sur plusieurs terrains à la fois? De cela il ne l'a pas prévenue, mais elle doit avouer qu'elle est mieux armée dans celui là que dans l'autre.
Quoique...
Drapé dans son rôle, le rat ne se départit pas d'un désarmant et olympien calme.
Craquant, aurait dit une jeune fille en fleur. Charmant, dit la duchesse qui, plutôt accoutumée à ce genre de visions, apprécie la qualité du spectacle. Les yeux se posent sur les divers témoignages des combats passés ornant la peau de son mestre du jour, et prennent toute la mesure de son ignorance quant au passé du sénéchal. Quel est ce souvenir là? Et celui-ci, juste là?
Elle cligne des yeux soudain, s'apercevant qu'elle le détorsage de façon fort discourtoise.
Gentlerat probablement malgré lui, il la sauve de l'embarras d'une rougeur embarassante en la taquinant du plat de l'épée ici, et là, la rappelant à l'ordre quant à sa posture trop lascive. Elle manque d'en lâcher son épée, surprise par le geste, et doit l'empoigner plus franchement pour éviter qu'elle ne lui échappe. Il n'est pas là, une fois n'est pas coutume, pour plaisanter. L'image de l'homme à l'état sauvage vient flotter un instant devant ses yeux brièvement déconcertés, qu'elle chasse en hochant la tête.
- Sénéchal, oui sénéchal...
Elle s'exécute, tentant une plaisanterie pour détendre son atmosphère, s'efforçant de faire montre d'un maintien gainé alors que vers le banc elle se dirige, surveillant son challenger du coin de l'oeil. Ne jamais tourner le dos...
Comme "invitée" à le faire, invitation brusque et sans fioritures, elle dépose docilement son épée sur le banc pour y prélever l'autre. Moins élégante, plus grossière. Elle la soupèse en la faisant passer d'une main dans l'autre, sans oser en faire trop, se sachant observée.
Se tournant de nouveau, vers lui, droite et alerte, souple sur ses genoux, prête à esquiver le plat de l'épée dut-elle avoir encore fait quelque chose de travers, elle le regarde. Il n'est plus l'heure pour les ronds de jambe ni pour les boutades amusées. Compris. Elle doit faire de son mieux pour ne pas déglutir, tant le changement dans son attitude est brutale. Il est méconnaissable, c'est la douche froide.
Elle sait, pourtant. Point de plaisanteries sur ce terrain qu'il connait si bien. Elle accepte donc le climat nouveau, et ouvre l'oeil pour en scruter l'évolution...
Pour la première fois depuis leur rencontre, elle le redoute...
Re: Armurerie du château.
Le Rat l'observe filer chercher son épée émoussée, la voyant ce retourner tous les trois pas, pour regarder vers lui.
Prudente la Duchesse, d'ailleurs ne Rat n'avait pas du tout pensé à faire de cette ordre un test, voir si elle fessait attention à ses arrières, mais le Rat apprécia le geste, mine de rien elle connaissait quelques petits truc dans l'art du combat. D'ailleurs il ne pu retenir un petit sourire amusé qu'il dissimula à grande peine, en fessant mine de ce prendre le visage entre les mais. Amusé par l'attitude de Chimera, un brin enfantin, un brin guerrière, la regardant sous peser son épée tel un professionnel du duel.
Alors qu'elle revenait vers lui, il ce dit qu'il devrait pas la prendre de haut, à trop jouer au maitre d'arme, il risquait d'une de la vexer, et de deux de ce prendre un méchant coup.
Trop sur de soit n'est jamais bon pour l'attention et la vigilance.
Il la combattrait et l’entraînerait comme son égale dans un premier temps, et ajusterais la difficulté en fonction du niveau.
La Duchesse lui fessait de nouveau face, et le Rat la regardait d'un air sévère, un petit sourire sur les lèvres tout de même.
- Votre Grâce, je vous préviens tout de suite, ceci est un entrainement au duel et au maniement de l'épée, sur un champ de bataille vous en avez fait l'expérience, cela est une tout autre affaire. Ici la règle d'or est l'honneur, le respect.
Pas de coup en fourbe, un homme à terre est un homme dans l'incapacité de ce battre donc plus une cible. Mais bien sur, ne jamais baisser sa garde et ce quoi quel que soit la situation.
Mais bon je pense qu'en votre personne de grande Dame vous êtes déjà au point sur tout cela, ne nous attardons pas.
Levant son épée droite devant lui, la lame perpendiculaire à son museau il salua la Duchesse, l'intiment de faire de même, une fois fait :
- Prêt ? Allons y !!
N'étant pas la pour rigoler, le Rat, les jambes à demi fléchi, le bras ferme mais souple, passa à l'attaque, visant son épaule dans une attaque vertical, testant avant tout sa réactivité, le coup n'était pas très rapide, il voulait dans un premier temps voir la vigilance dont la Duchesse fessait preuve et sa vivacité.
Ses attaques ce multiplièrent, alliant coup d'estoc et attaque haut. L'esquive, la parade et l'endurance étant les trois atouts essentiel d'une bonne lame et il voulait la tester sur ce terrain avant tout.
La Duchesse ce débrouillait plutôt bien, esquivant et parant chacune des attaques du Rat, bien que pas très rapide, elle perdait tout de même un peu de terrain. Ne sachant pas si elle reculait pour gagner du terrain et mieux contre attaqué ou si cela était du à la force de ses coups, elle changea de technique.
Curieux et amusé par ce duel d'entrainement contre cette Duchesse, cette femme qu'il appréciait par dessus tout, un grand dilemme naquis dans son esprit. Il savait que si elle venait à ce blessée par sa faute il ne s'en remettrait pas. Mais d'un autre côté il ne voulait la vexé et la prendre pour une petite chose fragile, qu'elle n'était pas de toute évidence.
Il était la pour l’entraîner... Et quoi que cela lui coûtait, il ne pouvait pas faire cela dans la douceur... Il lui fallait endosser de nouveau son masque de maître d'arme !!
Le Rat lui laissa donc l'espace dont elle avait besoin pour contre attaquer, esquivant, les jambes plus souple que pour l'attaque, ses pieds glissant sur le sol comme une valse, presque sans jamais décoller de la terre, glissant juste à sa surface pour effectuer des cercle et des petite ronde. Parant ses attaques de la lame ou du pommeau, variant les gardes, il jaugeait sa force et ses technique. Elle avait les bases nul doute à cela, mais il lui manquait tout de même quelques principes essentiel.
Ne voulant plus la ménagé, comme il avait pu le faire au début, il ce mit totalement dans la peau du maître.
Alors qu'elle l'attaqua, le rat esquiva d'un pas souple sur le côté, glissant dans un demi cercle pour ce retrouver dans le dos de la Duchesse, entraînée par le poids de sa lame et de son mouvement, un peu trop ample pour être contrôlable, le rat lui infligea un petit coup du pommeau de son épée tout en lui fauchant une jambe, la fessant rouler dans la poussière.
La regardant au sol sans l'aidé à ce relever.
- Votre grâce, il faut toujours faire attention à ses arrières... Un petit sourire amusé et fourbe aux lèvres. De plus, vos attaques sont trop ample, du coup le poids de votre armes et de votre corps si ils sont dévié, risque de vous faire perdre tout votre équilibre et vous exposé à la lame adverse...
Le premier coup était porté et le premier conseil donné !!
Prudente la Duchesse, d'ailleurs ne Rat n'avait pas du tout pensé à faire de cette ordre un test, voir si elle fessait attention à ses arrières, mais le Rat apprécia le geste, mine de rien elle connaissait quelques petits truc dans l'art du combat. D'ailleurs il ne pu retenir un petit sourire amusé qu'il dissimula à grande peine, en fessant mine de ce prendre le visage entre les mais. Amusé par l'attitude de Chimera, un brin enfantin, un brin guerrière, la regardant sous peser son épée tel un professionnel du duel.
Alors qu'elle revenait vers lui, il ce dit qu'il devrait pas la prendre de haut, à trop jouer au maitre d'arme, il risquait d'une de la vexer, et de deux de ce prendre un méchant coup.
Trop sur de soit n'est jamais bon pour l'attention et la vigilance.
Il la combattrait et l’entraînerait comme son égale dans un premier temps, et ajusterais la difficulté en fonction du niveau.
La Duchesse lui fessait de nouveau face, et le Rat la regardait d'un air sévère, un petit sourire sur les lèvres tout de même.
- Votre Grâce, je vous préviens tout de suite, ceci est un entrainement au duel et au maniement de l'épée, sur un champ de bataille vous en avez fait l'expérience, cela est une tout autre affaire. Ici la règle d'or est l'honneur, le respect.
Pas de coup en fourbe, un homme à terre est un homme dans l'incapacité de ce battre donc plus une cible. Mais bien sur, ne jamais baisser sa garde et ce quoi quel que soit la situation.
Mais bon je pense qu'en votre personne de grande Dame vous êtes déjà au point sur tout cela, ne nous attardons pas.
Levant son épée droite devant lui, la lame perpendiculaire à son museau il salua la Duchesse, l'intiment de faire de même, une fois fait :
- Prêt ? Allons y !!
N'étant pas la pour rigoler, le Rat, les jambes à demi fléchi, le bras ferme mais souple, passa à l'attaque, visant son épaule dans une attaque vertical, testant avant tout sa réactivité, le coup n'était pas très rapide, il voulait dans un premier temps voir la vigilance dont la Duchesse fessait preuve et sa vivacité.
Ses attaques ce multiplièrent, alliant coup d'estoc et attaque haut. L'esquive, la parade et l'endurance étant les trois atouts essentiel d'une bonne lame et il voulait la tester sur ce terrain avant tout.
La Duchesse ce débrouillait plutôt bien, esquivant et parant chacune des attaques du Rat, bien que pas très rapide, elle perdait tout de même un peu de terrain. Ne sachant pas si elle reculait pour gagner du terrain et mieux contre attaqué ou si cela était du à la force de ses coups, elle changea de technique.
Curieux et amusé par ce duel d'entrainement contre cette Duchesse, cette femme qu'il appréciait par dessus tout, un grand dilemme naquis dans son esprit. Il savait que si elle venait à ce blessée par sa faute il ne s'en remettrait pas. Mais d'un autre côté il ne voulait la vexé et la prendre pour une petite chose fragile, qu'elle n'était pas de toute évidence.
Il était la pour l’entraîner... Et quoi que cela lui coûtait, il ne pouvait pas faire cela dans la douceur... Il lui fallait endosser de nouveau son masque de maître d'arme !!
Le Rat lui laissa donc l'espace dont elle avait besoin pour contre attaquer, esquivant, les jambes plus souple que pour l'attaque, ses pieds glissant sur le sol comme une valse, presque sans jamais décoller de la terre, glissant juste à sa surface pour effectuer des cercle et des petite ronde. Parant ses attaques de la lame ou du pommeau, variant les gardes, il jaugeait sa force et ses technique. Elle avait les bases nul doute à cela, mais il lui manquait tout de même quelques principes essentiel.
Ne voulant plus la ménagé, comme il avait pu le faire au début, il ce mit totalement dans la peau du maître.
Alors qu'elle l'attaqua, le rat esquiva d'un pas souple sur le côté, glissant dans un demi cercle pour ce retrouver dans le dos de la Duchesse, entraînée par le poids de sa lame et de son mouvement, un peu trop ample pour être contrôlable, le rat lui infligea un petit coup du pommeau de son épée tout en lui fauchant une jambe, la fessant rouler dans la poussière.
La regardant au sol sans l'aidé à ce relever.
- Votre grâce, il faut toujours faire attention à ses arrières... Un petit sourire amusé et fourbe aux lèvres. De plus, vos attaques sont trop ample, du coup le poids de votre armes et de votre corps si ils sont dévié, risque de vous faire perdre tout votre équilibre et vous exposé à la lame adverse...
Le premier coup était porté et le premier conseil donné !!
Niark- Messages : 68
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